METACOMMUNICATION

LA METACOMMUNICATION

Les aspects de la communication

Il y a six représentations de la construction de l’information :

I - Ce que l’on voit et ce que l’on entend

Analyse des aspects verbaux et non verbaux par l’œil.

-          Vision globale

-          Vision centrale (analytique)

Selon la compétence de l’observateur la stratégie de décodage du sens de l’information entre le sens global et les saisies locales et séquentielles sera plus ou moins pertinente.

L’audition rend plus dépendant l’émetteur, l’information est séquentielle et nécessite l’intervention de la mémoire à court terme, afin de constituer des unités de sens plus global.

II - Ce que l’on sait (le savoir)

III - Ce que l’on connaît (le vécu)

IV - Ce que l’on invente (imagination et création)

Représentation mentale du discours oral et/ou de la situation (mimes plus ou moins conscientes)

V – Ce que l’on dit (la parole, le verbe)

Le sens des mots aide à déterminer l’information dans la communication.

La prosodie

La tonalité : La modulation est rythmée par la respiration et la planification du discours

VI - Ce que l’on fait (le comportement)

Langage du corps donne une information globale pour mieux interpréter le message oral

-          Proxémique :

-          Postures :

-          Gestes :

Il est impossible de ne pas communiquer, les silences peuvent prendre différentes significations.

-          Traduire une hostilité

-          Une provocation

-          Un repli intérieur

-          Une réflexion pour ajuster sa réponse

Le comportement dans son ensemble, à une valeur de message.

Il est la première des communications non verbales qui échappe à notre attention.

Ces messages non verbaux peuvent revêtir une grande importance dans la communication avec autrui :

55% est exprimé avec le corps

38% est exprimé avec l’intonation de la voix

7% est exprimé avec les mots

Essai de classification

des trois groupes et des neufs types de comportement agressif

Les neufs types d’hommes agressifs (exprimés ou rentrés), permet de donner une explication sur les sens faussés de la réalité de chacun du monde extérieur (mondes ordinaires subjectifs) : les compulsions, les centres dominants, les passions ...etc

Groupe offensif

Type 1 : Le devoir

Type 2 : L’approbation

Type 3 : Les apparences

Groupe défensif « retrait »

Type 4 : La planification

Type 5 : L’exactitude

Type 6 : L’appréhension

Groupe dépendant « passif »

Type 7 : L’adaptation

Type 8 : Le contrôle

Type 9 : L’écriture

Même les mots montrent notre agressivité latente. Nous attaquons un problème, nous mordons à un travail, nous dominons un sujet, nous nous acharnons sur un problème après avoir vaincu  la difficulté, nous aiguisons notre intelligence en espérant que notre esprit deviendra tranchant afin de mieux disséquer les composantes d’une difficulté.

Le côté agressif de la nature humaine n’est pas seulement une sauvegarde indispensable contre les attaques prédatrices, c’est aussi la base de l’accomplissement intellectuel, de l’accession à l’indépendance et même de l’orgueil légitime (à ne pas confondre avec la vanité) qui permet de garder la tête hautes.

L’homme possède peu d’armes naturelles et un cerveau schizoïde - paranoïde fait qu’il est l’espèce la plus agressive du monde animal.

- Il tue ou massacre sa propre espèce, alors que l’animal devient prédateur pour se nourrir et préserve son garde à manger.

- Il fait l’exclusivité à son imaginaire et son égocentrisme (insulte, vexation…), l’animal reste de marbre et utilise la soumission.